Le choix des études à l’IUT est un choix réfléchi car le mode d’enseignement est tout à fait différent de celui de la faculté. Les classes sont composés de maximum 30 étudiants, les enseignants sont très présents, nous avons de nombreux travaux de groupe sur des projets approchant de très près la réalité du monde professionnel.

Nous avons, en deuxième et en troisième année, des challenges, internes ou nationaux, où les équipes d’étudiants, publicité et communication des organisations mélangés, travaillent autour d’un brief commun.

En deuxième année, nous avons travaillé pour la marque Le Francomtois, marque de cancoillotte, ensuite pour Maty.

Le challenge Maty, quant à lui, avait pour objectif d’établir une stratégie de communication pour sa nouvelle collection, Opéra.

Ces différents challenges permettent d’avoir des expériences au plus près de la réalité et d’avoir aussi le retour de professionnels sur notre travail.

Pour le Francomtois, nous devions créer une stratégie afin d’augmenter la notoriété de la marque dans le quart Nord-Est de la France.

Nous avons élaboré une stratégie créative avec comme concept le retour à l’enfance, les souvenirs d’enfance autour de la cancoillotte. Pour cela, nous avons imaginé une mascotte, Sapi. Son but serait de devenir le nouveau visage de la marque, d’animer le digital et les évènements : bref, rallier petits et grands autour d’un élément réconfortant.

Le challenge Maty, quant à lui, avait pour objectif d’établir une stratégie de communication pour sa nouvelle collection, Opéra.

Nous avons proposé une campagne ayant comme axe créatif : la transmission.
Nous avons voulu montrer que MATY est présent à chaque étape de la vie et que ses bijoux sont un lien durable et de qualité entre le passé et le présent.
Pour cela, nous avons proposé, entre autres, une suite de vidéos, où l’on voit la vie d’une femme, à travers les grands moments de sa vie. A sa naissance, elle a reçu un bracelet de la collection Opéra, bracelet qu’elle transmettra à sa fille lors de son mariage.

En troisième année, nous participons au challenge national de la communication.

À la demande de l’URIOPSS de Normandie, nous devions valoriser du personnel dans le secteur du médico-social.

Toute l’équipe a travaillé pendant une semaine sur cette problématique, avec comme concept de mettre au centre de toute notre campagne de communication la personne aidée.

Qui est le mieux placé pour parler des métiers du médico-social ? La personne qui reçoit les soins, l’aide.

Exposition photos, témoignages vidéo, nous avons créé une campagne qui met en valeur Anna, Valentin, Émilie et tant d’autres (personnes fictives dans le cadre de l’exercice) : tous ont reçu une aide qui leur a permis de passer outre leur handicap et de vivre une vie complète.

Notre campagne, avec sa signature #LeurPresenceFaitlaDifference, met en valeur la différence faite par le personnel médico-social auprès des gens qui en ont besoin.

Dans le cadre de nos cours, nous avons dû élaborer des stratégies de communication.

Avec mon groupe de travail, j’ai pu réaliser des stratégies de communication pour la Sécurité Routière, l’ESF.

Dans le cadre du cours sur la communication événementielle, nous avons créé un voyage de presse pour une marque de vin de luxe fictive.

Nous avons aussi dû rédiger des articles de presse ou encore une revue de presse, sur le thème de l’uniforme à l’école, dans le cadre du cours d’actualités et géopolitique.

Ceci n’est qu’une liste exhaustive de nos nombreux projets.

L’IUT nous propose une semaine audio-visuelle, tant en première année qu’en deuxième.

Pendant celle de première année, nous avons dû réaliser un reportage photo sur le thème des transports à Besançon. Avec mon binôme, nous avons décider de le faire sur la ligne de bus reliant le centre-ville de Besançon à la Citadelle, comme un lien de culture.

En deuxième année, nous devions faire l’interview vidéo d’un professionnel. Avec deux de mes camarades, nous sommes allées interviewer le général de brigade Renaud de l’Estoile, commandant en second de la 1e Division de l’Armée de Terre, à Besançon. Nous devions rendre une interview de 2 minutes 30 en une semaine et aussi faire faire un teaser individuel. Cette expérience a été un véritable challenge mais nous a beaucoup appris.

Ces différents travaux de groupe nous apportent de nombreuses compétences, autres que des compétences techniques. Tout d’abord, la gestion du travail en groupe nous est désormais très familier et nous les abordons désormais avec aisance. Ensuite, puisque nous travaillons à plusieurs, j’ai dû acquérir une certaine flexibilité afin de m’adapter aux horaires de chacun. Pour cela, j’ai appris à m’adapter, à rebondir si l’un des membres du groupe ne peut pas effectuer sa part du travail.